Ma mère est décédée récemment, bouffée par le méchant crabe…
Non, ne m’envoyez pas vos condoléances, je n’écris pas ce billet dans ce but, mais simplement pour m’associer à un petit poème sans prétention écrit par mon fils Mathurin en l’honneur de sa grand-mère.
C’est notre façon à nous de rendre hommage à un être cher disparu trop tôt (c’est toujours trop tôt).
PS : il a commencé à écrire ce texte alors que nous venions juste d’apprendre qu’elle était au plus mal, et il l’a fini à quelques minutes près à l’heure de son décès. Ceci explique le contexte de la première strophe.